Que faire si vous croisez la route d’un animal de compagnie errant ou d’un animal sauvage en difficulté ? Qui contacter ? L’Union Professionnelle Vétérinaire nous éclaire.
Les animaux errants
Si vous trouvez un animal de compagnie errant qui a besoin d’aide mais que vous ne pouvez pas assumer les coûts des soins vétérinaires, des solutions existent. Par ailleurs, si l’animal est en danger de mort immédiat, il est crucial d’agir rapidement afin de lui sauver la vie.
Dans chaque commune, les autorités locales doivent avoir mis en place des procédures pour de telles situations d’urgence, comme, par exemple, des partenariats avec des associations de protection animale.
“En cas de découverte d’un animal blessé, abandonné ou sans propriétaire, il incombe à votre bourgmestre de mettre en place des procédures internes, telles qu’une convention avec un refuge, des vétérinaires, une communication à la Police et/ou à la zone de secours. Votre commune joue un rôle central en orientant les citoyens vers les organismes et associations compétents.”
“Responsabilité partagée envers les animaux : être informé pour mieux agir”, Union Professionnelle Vétérinaire (UPV).
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Les animaux sauvages
La gestion des animaux de compagnie errants diffère de celle des animaux sauvages. En Belgique, les animaux errants relèvent de la compétence de la ou du bourgmestre de la commune, tandis que les animaux sauvages sont de la responsabilité du Département de la Nature et des Forêts (DNF).
Dans le cas d’une espèce protégée, comme un oiseau ou un petit mammifère, l’animal peut être confié à un Centre de Revalidation des Espèces Animales Vivant naturellement à l’État Sauvage (CREAVES).
Pour plus de facilité, l’UVP a conçu un organigramme qui reprend les différents cas de figure.
